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La jeune fiancée de Pierre Moscovici, 25 ans, sort de l’ombre

Marie-Charline Pacquot, 25 ans, sort de l’ombre de Pierre Moscovici, 55 ans, dans une longue interview.

Moscovici et sa compagne

Moscovici et sa compagne

« Je suis son phare dans la tempête », dit-elle dans une longue interview au quotidien franc-comtois Le Pays.

La relation entre la chercheuse en philosophie et le ministre de l’Économie et des Finances, 55 ans, n’est un secret pour personne. L’élu socialiste s’est affiché à de nombreuses reprises en compagnie de la jeune femme, de trente ans sa cadette, avec qui il vit une idylle depuis cinq ans.

Ils se sont déjà retrouvés dans les pages des magazines people. Et sur son compte Twitter, Marie-Charline poste elle-même des photos du couple. Mais jusqu’à présent, aucun des deux n’avaient évoqué leur vie privée dans la presse.

« Il m’a fait découvrir Flaubert »

Dans cette interview au journal local publiée mercredi, la compagne du ministre a décidé de dévoiler les dessous de sa romance. Blonde et fine, elle raconte leur première rencontre, en 2008, au stade Bonal, à Montbéliard (Doubs), terre de l’ancien député PS. Originaire de la région, elle étudiait alors à Besançon et avait voté pour lui aux dernières législatives, « sans faire attention à sa tête ».

« Lorsqu’on m’a présenté Pierre un soir de match, nous n’avons pas du tout parlé de politique, raconte-t-elle. Je n’avais tout simplement pas fait le rapprochement (…) Nous nous sommes sentis très proches tout de suite. Il n’y a pas vraiment eu de jeu de séduction, c’était plus une évidence ».

Les deux futurs toutereaux se sont alors trouvés une passion commune : la littérature. « J’avais face à moi quelqu’un de simple et d’honnête. Ensemble, nous pouvions parler de bouquins toute la nuit. Il m’a fait découvrir Flaubert », se souvient-elle.

« L’homme de pouvoir qui abuse de la petite midinette »

Elle assure ne pas être gênée par leur grande différence d’âge, ayant « toujours aimé être entourée de gens plus âgés ». Le seul moment où l’écart des générations se fait sentir, c’est lorsque son compagnon évoque « le concert de The Who à la fête de l’Huma en 72 ».

Mais les choses ne sont pas aussi simples dans l’esprit du ministre. « Pour lui, c’était un peu plus compliqué. Il craignait qu’on lui colle l’image de l’homme de pouvoir qui abuse de la petite midinette. Nous ne nous sommes jamais cachés mais nous n’avons pas non plus ressenti le besoin de nous afficher aux yeux de tous », explique Marie-Charline Pacqot.

Elle revient notamment sur le tollé provoqué par une photographie de son couple en vacances à la plage publié dans Voici en 2011, « en plein affaire DSK ». « J’ai découvert Twitter ce jour-là et j’ai lu des horreurs. Pierre a porté plainte pour mettre fin à cette spirale ».

Marie-Charline Pacquot« Une vie normale »

Les paparazzis et les gardes du corps font partie de son quotidien, mais elle et son ministre parviennent à mener « une vie normale ». « En allant au resto le soir ou en regardant de vieux westerns en DVD avec (leur) chat Hamlet sur les genoux », par exemple.

Moins que l’exposition médiatique, c’est la pression politique exercée sur son mari qui la touche le plus. Surtout depuis l’affaire Cahuzac. « Je vis par procuration ce qu’il subit, confie-t-elle. Je suis aussi terriblement surprise du nombre de mensonges qui sont racontés sur lui et cela me brise le cœur. Mais c’est dans ces moments-là qu’il est important d’être deux. Il me dit souvent que je suis son phare dans la tempête ».

Source : Le Parisien

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