A Marseille (Bouches-du-Rhône), sur la plage publique des Catalans, un policier a été agressé par une vingtaine de jeunes qui ont tenté de le noyer.
Un policier a été violemment agressé, lundi après-midi, par un groupe d’une vingtaine de jeunes qui perturbaient les vacanciers sur une plage publique du centre de Marseille (Bouches-du-Rhône), la plage des Catalans. Le policier, âgé de 35 ans, a été roué de coups et a eu la tête maintenue sous l’eau par ses agresseurs.
Transporté à l’hôpital, il souffre de multiples contusions. Un garçon et une fille mineurs ont été interpellés et placés en garde à vue, tandis que les autres membres du groupe ont pris la fuite. Le parquet a ouvert lundi une enquête préliminaire pour tentative d’homicide.
La tête sous l’eau, roué de coups par 20 lâches
Les faits se sont déroulés vers 15h50, lorsque ce policier, chef de poste de la plage des Catalans, est intervenu pour calmer une altercation entre un groupe de jeunes et un père de famille, dont le nourrisson de trois mois avait été atteint par des jets de sable.
Les échanges ont dégénéré lorsque le policier est intervenu auprès d’une jeune fille du groupe, comme le relève un témoin interrogé par France Info : «La jeune fille était hystérique. Le policier a tenté de la faire sortir de l’eau pour la calmer mais c’était très compliqué. Soudain, une vingtaine de jeunes se sont rués vers le policier. Les jeunes étaient déchaînés et lui ont porté de nombreux coups avant de tenter de le noyer.» Cette mère de famille poursuit: «C’est l’intervention d’un autre policier réserviste avec sa bombe lacrymogène qui a permis de sauver le policier et de disperser les jeunes.»
Les très nombreux vacanciers présents sur cette plage publique située près du Vieux-Port n’ont pas vraiment compris ce qui se passait. Beaucoup d’entre eux, y compris des enfants, incommodés par le gaz lacrymogène, ont été dans l’obligation de quitter précipitamment la plage, comme l’indique La Provence. Un mouvement de foule qui a semé la panique: «J’ai quitté toutes mes affaires en courant vers la sortie de la plage», raconte une habituée des Catalans, encore sous le choc.
Source : LeParisien.fr
Bien entendu interviews choisies , c’est le policier qui doit être responsable contre des racailles même si celles ci en meute étaient en train de noyer un maitre nageur !
Le jour où elle ou un de ses proches se retrouvera dans une situation analogue au maitre nageur victime de ces bandes (dont il est inconvenant de préciser l’origine ethnique il faut dire « bande de d’jeunes ») elle sera peut être heureuse qu’on ai sauver la vie , quitte a indisposer temporairement fussent quelques milliers de personnes