Casey Jenkins, une féministe australienne, vient de mettre au jour une nouvelle manière de tricoter, grâce à son vagin. Chaque jour, la jeune femme insère un bout de laine dans sa vulve et tricote à partir de ce fil.
Mesdames, vous ne savez pas quelle activité pratiquer pour vous détendre et passer du bon temps ? Découvrez donc le tricot vaginal (« vaginal knitting » en anglais)…
Casey Jenkins, fervente féministe, a décidé de mélanger l’art aux causes politiques qu’elle défend.
Depuis 28 jours, cette jeune femme insère un fil de laine dans son vagin à partir duquel elle tricote une écharpe. C’est sur une télévision australienne, qu’elle a dévoilé les secrets de sa technique.
Et comme ce tricot doit être 100 % naturel, pas question de s’interrompre en période de règles.
«Ça ne fait pas mal, il y a bien des enfants qui sortent de là»
Grâce à cette nouvelle forme d’art, Casey a découvert de nouvelles sensations, parfois très excitantes.
«Ça éveille les sens, ça peut être inconfortable mais jamais douloureux. Il y a bien des enfants qui sortent de là», a-t-elle confié.
L’artiste espère ainsi « que les gens remettent en question les peurs et les associations négatives qu’ils ont vis-à-vis de la vulve ».
Voilà peut-être une bonne idée de cadeau de Noël pour ceux qui sèchent… 😉
Et vous, seriez-vous prêts à porter une écharpe ou un bonnet tricoté par Casey Jenkins ?